OM : De Bono fait l’éloge de José Anigo

Jean-Charles de Bono fait partie de cette équipe de Minots qui a sauvé l’OM dans les années 80. Au même titre que José Anigo. Les deux hommes sont très proches. Et le premier fait l’éloge du second.

Jean-Charles de Bono défend José Anigo

Jean-Charles de Bono ne cache pas son amitié avec José Anigo. Ce dernier, souvent critiqué lorsqu’il était en poste à l’OM, peut compter sur le soutien de son ami pour le rétablir au niveau qu’il mérite : «  »Je veux parler de José (Anigo), mon ami. Il faut se rendre compte de tout ce qui a pu être dit sur lui… Il a tout fait pour ce club. Il a mis sa famille en péril, il a travaillé durement avec Pape Diouf, avec tous les entraîneurs qui sont passés, il a défendu les couleurs et le club. Il est allé au feu pour l’OM. Il a tout fait. Il a gagné des titres, il a fait les jeunes, les moins jeunes. Ça me fait mal au cœur quand j’entends mal parler de lui. C’est encore un passionné de l’OM. Quand il m’en parle, tu vois qu’il a le club dans son cœur et qu’il est fier de ce maillot. Ce serait sympa que les gens comprennent que José est un passionné de l’OM. » a-t-il déclaré dans un entretien à La Provence.

L’OM TV, également un bon souvenir

Dans cet entretien, il se rappelle des bons souvenirs qu’il a avec l’OM. Comme son passage à l’OM TV, une chaine d’informations du club phocéen supprimée à l’arrivée de Franck McCourt et de Jacques-Henri Eyraud : « Il y a eu des images, des joueurs, des amitiés. J’étais très proche de Franck Ribéry quand il était à Marseille. Samir Nasri, qui débutait, est venu à la maison fêter l’anniversaire de ma fille. Il y a eu des gros moments avec tous ces joueurs, les Habib Beye, Mamadou Niang. Ils avaient l’esprit de chez nous. Ils étaient fiers de porter ce maillot-là et ils jouaient le jeu avec nous. Ils savaient que j’étais un ancien joueur, je vivais comme eux, je partais et je revenais avec eux, j’avais le droit d’aller dans les vestiaires. J’avais cette facilité en tant qu’ancien, José et Pape me donnaient la possibilité de rentrer. Je buvais un coup avec certains, je jouais aux cartes avec d’autres. Souvent (Benoît) Cheyrou me demandait de faire le quatrième à la contrée avec eux dans l’avion. » ajoute-t-il.

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